Portfolio
Quelques réalisations…
Afin de vous montrer toute la diversité de nos activités, nous vous présentons, dans ce portfolio, quelques réalisations effectuées par Revival Atelier. Ce ne sont là que quelques exemples, mais nous vous les présentons sous forme d’avant/après afin que vous jugiez vous-même de ce qu’une restauration peut apporter à des œuvres dégradées ou altérées. Faites glisser le curseur de gauche à droite et constatez que rien n’est jamais perdu…!
Portrait de Hubert-Nabert-François-Louis, Comte de la Ferté Meun
Peint par François-Louis Gounod en 1817
Ce portrait a fait l’objet de recherches historiques et iconographiques approfondies. Fortement altéré par un chanci de vernis conséquent, sa restauration a principalement consisté au retrait d’un rentoilage défaillant, à une consolidation du support avec un doublage synthétique. Enfin, un traitement minutieux de la couche picturale par un décrassage, un dévernissage et des retouches a permis de révéler ce portrait d’une grande qualité.
Portrait de femme
Ce tableau de la fin du XVIe siècle présentait de larges altérations suite à une dégradation d’une première restauration.
Cadre XIXe, en stuc doré à la feuille
Ce cadre, estimé du milieu du XIXe siècle, présente des rinceaux, des rubans et autres fleurs, qui sont des motifs communs sous la Restauration ( 1815-1824) et sous le règne de Charles X (1824-1830). À cette époque, le style reste fidèle au style Louis XVI et Empire, assez géométrique et à l’influence antique. Plusieurs éléments, notamment sur le chant, étaient abîmés voir détruits. La restauration a donc consisté en un décrassage soutenu, une consolidation du cadre et une reconstitution de certains éléments décoratifs. Ceux-ci ont ensuite été redorés à la feuille d’or puis patinés afin d’harmoniser l’ensemble.
Peinture moderne de Ken Howard,
“Vue sur les toits”,
années 60
Après une stabilisation de son support toile, un décrassage et un dévernissage approfondis ont permis de mettre à jour les couleurs d’origine de cette peinture moderne.
Peinture moderne de Ken Howard,
“Femme au fer à repasser”,
années 60
L’œuvre, conservée libre, sans tenseur pendant plusieurs années, montrait des déformations conséquentes.
Le traitement résidait donc dans le rétablissement de la planéité de la toile et la consolidation de la couche picturale.
